Approfondissez vos connaissances sur les possibilités de devenir apporteur d'affaires, avec votre PARTENAIRE IMMOBILIER Valaisan.
Choisir de devenir apporteur d'affaires, c'est choisir de rester libre et sans lien avec un subalterne, juste une relation entre partenaires. Vous n'aurez aucunes obligations d'horaires ou contraintes. Vous ne serez pas un agent commercial et n'aurez de compte à rendre à personne, si ce n'est à vous-même. Vous ne serez pas salarié de l'entreprise avec laquelle vous allez collaborer.
Peut-être avez-vous déjà mis en contact deux personnes de votre entourage avec des intérêts convergeant. Par la suite, cette présentation a aboutie à la conclusion d'une affaire. A ce moment là, vous aviez agi sans recevoir de rétribution autre que celle de la reconnaissance. C'était juste un service.
Vous allez apprendre qu'un tel rapprochement à permis une création de richesse pour les deux personnes mises en relation, et qu'avec un minimum d'organisation, une rétrocommission pourrait vous être remise.
Le rôle d'un apporteur d'affaires pourrait être assimilé à celui d'agent commercial, alors qu'il n'en est rien.
L'agent commercial sera mandaté pour effectuer une tâche commerciale avec une contrainte légale. Il devra être formé et parfaitement aguerri à la négociation commerciale et aux conditions qui vont encadrer la relation commerciale et son contrat. Il est le plus souvent employé d'une société.
L'apporteur d'affaires, au contraire, n'a pas ces contraintes légales ou de formation. Son seul rôle sera celui d'intermédiaire. Il pourra être chargé de prospecter certaines « Targettes* », mais n'aura pas d'obligation de résultat. Son engagement sera simplement de mettre en relation deux parties. Ce qui se passe après, n'est pas de son ressort.
Liberté et indépendance sont les maîtres mots de l'apporteur d'affaires. Aucune relation hiérarchique ne viendra s'immiscer entre les parties. Il n'est pas salarié mais sera rémunéré pour son action de rapprochement.
Il aura droit à un pourcentage en lien avec la commission perçue pour la conclusion de l'affaire.
Pour une société, faire recours à un apporteur d'affaires peut être une solution pertinente en vue d'un développement futur. En adoptant cette stratégie, l'entreprise initiatrice maximise son évolution commerciale et prospective. L'apporteur sera protégé et encadré par un contrat d'apporteur d'affaires qui précisera sa mission et sa rémunération en contre-partie.
Le statut d'apporteur d'affaires est aussi une chance pour celui qui relève le challenge, pour mieux se vendre auprès de potentiels nouveaux clients. Bien souvent, un apporteur d'affaires va avoir une dynamique d'entre- preneur avec comme conséquence une démarche et une activité d'une personne responsable de son activité. Il aura carte blanche sur le choix des ses clients, le temps consacré par semaine à son activité ou ses rémunérations qui dépendront de sa clientèle cible.
Cerise sur la gâteau, aucun matériel onéreux ne sera demandé pour ce travail de « Matching », aucune immobilisation financière importante au autre placement. Par contre il est recommandé d'avoir un carnet d'adresse bien rempli, un téléphone (la base) et un abonnement internet.
Apporteur d'affaires est donc une occupation sans risque financier qui permet à tout un chacun, pour autant que l'envie soit là, de se réaliser.
Embrasser la fonction d'apporteur d'affaires, c'est opter pour une activité relativement intéressante pour toute personne ayant un minimum d'entregent et avec l'avantage de pouvoir correspondre à bon nombre de personnes (commerciaux issus de tous domaines, professionnels de la branche, profession libérale) il faut rester attentif car certains modes de fonctionnements diffèrent parfois en fonction des branches.
Si l'apporteur d'affaire est déjà salarié au sein d'une entreprise, il devra s'assurer auprès de son employeur que celui-ci lui permet de faire un cumul de revenus ou simplement vérifier ses clauses contractuelles. Une fois au clair avec ceci, il faudra encore que le statut soit vérifié auprès d'un professionnel tel que votre fiduciaire ou autre.
Vous l'avez compris, sommes toutes, il est relativement facile de devenir un(e) apporteur d'affaires.
En tant que particulier, la première démarche sera peut-être de publier une annonce proposant une affaire commerciale ou faire jouer votre carnet d'adresse pour trouver le partenaire sur qui vous allez vous appuyer. Si vous avez déjà une structure dormante, il sera donc temps de la réactiver. Pour ne pas vous lancer dans des frais potentiellement inutiles, nous vous recommandons de commencer sans autre structure. Voir si ce travail vous plaît, si oui, générer du chiffre, puis une fois sûr du bon choix opéré, créer la structure sur mesure et bien concordante avec vos attentes.
Une prise de contact avec un professionnel habitué à ces démarches (juriste, fiduciaire) saura vous aiguiller dans la bonne direction sans perdre de temps.
Le lien entre les deux parties sera réciproque avec la transmission d'une potentielle affaire et la rétrocession d'une commission lors de la conclusion de celle-ci. Les conditions cadres sont définies par un contrat établissant les conditions respectives. Si vous trouvez ce processus trop compliqué, rien de nous empêche de conclure l'affaire par une poignée de mains. La confiance est une vertu, qui est rarement respectée s'il n'y a eu qu'un engagement oral.
Un contrat signé sous seing privé sera de nature à offrir une protection réciproque et en cas de litige de prédéfinir des situations ayant fait jurisprudence.
Le contrat doit stipuler :
• La désignation des parties
• Définir clairement le rôle d'apporteur d'affaires
• Définir les régions et biens ciblés
• Définir le montant de la rétrocommission lors de la conclusion d'une affaire
• Définir la durée contractuelle
• Les divers
Tous les points ont maintenant été abordés, désormais vous pouvez agir. Vous avez certainement déjà des personnes auxquelles vous pensez, qui seraient de potentielles chances de concrétiser de nouvelles affaires. Pour prospecter, vous pouvez cibler des secteurs plus propices, tels que ceux de la construction, l'artisanat de standing ou tout autre secteur d'activité pour autant que vous soyez à l'écoute et un peu opportuniste.
Un de vos clients demande d'intervenir dans un projet que vous ne pouvez prendre en charge pour plein de raisons, profitez d'en faire bénéficier un confrère qui pourra interagir et pour finir de toucher une commission.
Vous vous rendrez comptes que les occasions pour faire du « Matching*» ne manquent pas. Bien souvent peu pris en considération, l'apporteur d'affaires, a pourtant une belle carte à jouer pour autant qu'il ai de l'entregent. Une simple présentation entre deux personnes d'intérêts convergents, et le travail est fait !
Du coté de l'entreprise, ce procédé est bon moyen de faire parler d'elle en bien et par la même occasion d’étoffer son portefeuille client. Le chiffre d'affaire pourra s'en trouver renforcé tout en gardant le contrôle de ses coûts.
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Targuette* : cible, Matching* : création d'un lien concordant entre deux entités / Copyright © Tous droits réservés / Informations transmises à titre indicatif et sans engagement contractuel
